Green Day

Groupe de punk rock américain originaire de Oakland en Californie et formé en 1987, Green Day est composé à l’origine du chanteur et guitariste Billie Joe Armstrong, du bassiste Mike Dirnt (de son vrai nom Mike Pritchard), et du batteur Al Sobranter remplacé en 1990 par Tré Cool, rejoints ensuite en 2012 par le guitariste Jason White.

Ce n’est qu’en 1994 que le groupe rencontre le succès avec l’album « Dookie ». Green Day bénéficie alors de l’engouement général pour le punk rock et du battage médiatique de la Chaîne MTV qui diffuse successivement tous les clips des singles extraits de l’album. Le groupe devient ainsi l’un des emblèmes du revival du punk rock aux États-Unis aux côtés de groupes californiens comme « The Offspring » ou « Rancid ».

Des chansons simples et percutantes, plus proches du punk anglais qu’américain, apporte une fraîcheur et une spontanéité qui faisait défaut à ce dernier.

Ils enchaînent alors les concerts et les méga festivals (Woodstock, Lollapalooza…) et l’album se retrouve même classé par le magazine « Rolling Stone » dans la liste des 500 meilleurs albums de l’histoire.

Les albums qui suivent, « Insomniac », « Nimrod » et « Warning », sortis entre 1995 et 2000, n’obtiennent pas le succès phénoménal de « Dookie », la vague néo-punk californienne étant retombée.

En 2003, « The Network », un groupe new wave, fait son apparition. Les ressemblances vocales et physiques laissent à penser qu’il s’agisse en fait de Green Day.

En 2004, le groupe (Green Day, hein ? pas The Network) sort « American Idiot », un opéra-punk qui décrit les travers de la société américaine et de son gouvernement au travers du parcours de Jesus Of Suburbia. L’album obtient un énorme succès populaire et critique qui va permettre au groupe de conquérir un nouveau public. Les singles « American Idiot », « Boulevard of Broken Dreams » et « Holiday » atteignent la première place des charts.

Depuis lors le groupe s’est investi dans la défense de l’environnement, le soutien aux sinistrés de l’ouragan Katrina et l’engagement contre la guerre au Darfour…

En 2007, un autre groupe sorti de nulle part fait son apparition : les « Foxboro Hot Tubs » (comme pour The Network, Green Day se cachait derrière ce groupe).

En 2009, l’album power-pop « 21st Century Breakdown », un nouvel opéra-rock encore plus ambitieux que « American Idiot », surplombe un peu partout les charts.

En 2010 est produit « American Idiot: The Original Broadway Cast Recording », une comédie musicale adaptée de l’album « American Idiot ».

En 2012, Green Day retourne à ses racines punk avec une ambitieuse trilogie. Ce projet est constitué de « ¡Uno! » (septembre 2012), « ¡Dos! » (novembre 2012), et « ¡Tré! » (décembre 2012) et contient en tout 36 chansons.

À ce jour, Green Day aurait vendu plus de 70 millions d’albums à travers le monde, la preuve que « Punk’s not dead ! »

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